vendredi 14 juillet 2017

Le flottage du bois à Brienne la Vieille par A. Marguillier 1938

  Statue de Saint Nicolas 1834

  La famille Marguillier a fourni deux instituteurs pour la commune de Brienne la Vieille Ambroise Nicolas Marguillier (1796-1875) de 1826 à 1856, son fils Gustave de 1856 jusqu'à son décès en 1891. Gustave Marguillier a été l'auteur d'une Statistique communale de brienne la Vieille, rédigée selon le questionnaire de la Société Académique de l'Aube, conservée aux archives de la commune. Dans le chapitre consacré à  l'industrie et au commerce, il cite le flottage du bois comme l'une des activités principales de la commune qui occupe en permanence une cinquantaine d'ouviers tout au long de l'année.
Son fils, Auguste Marguillier (1862-1943), homme de lettres, secrétaire de la revue Gazette des Beaux Arts a rédigé un complément en 1938 ( voir la photo ci-dessus).
L'association pour la sauvegarde du patrimoine rural et artisanal ASPRA a publié dans sa revue en janvier 1997, un numéro spécial "Regards sur le Briennois d'antan" pages 56-60, une synthèse, sur le flottage des bois sur la rivière aube décrivant la préparation des bois, leur mise à l'eau, la constitution des brelles, leur mise à l'eau et le voyage jusqu'à Paris.

jeudi 13 juillet 2017

Les ports de Brienne la Vieille, garde port et règlementation de navigation sur la rivière Aube

  

Règlement de la navigation de la rivière Aube de Brienne-la-vieille jusqu'à Marcilly sur Seine de 1831







Un nouveau port de flottage de bois fut décidé en 1832 et financé par le bureau du commerce des bois  carrés de Paris

 







 Nomination de Joseph Victor Rouilliot, surveillant du repêchage des bois, de Brienne la Vieille jusqu'à Arcis sur Aube et garde des ports de Brienne la vieille, Blaincourt et Lesmont en résidence à Brienne la vieille le 17 août 1829.



Joseph Victor Rouilliot fut aussi maire de Brienne la vieille, tout comme son fils aîné Alexandre, qui prit sa succession comme garde-port de Brienne la vieille.

samedi 8 juillet 2017

Les restes du lavoir de Brienne la vieille



Les pierres du bassin, les margelles provenant des carrières de Bossancourt ont résisté à l'incendie de 2007. La charpente taillée en 1826 par le maître charpentier de Brienne la vieille M. Charrier est partie en fumée. Le charpentier Charrier avait participé à la construction de plusieurs édifices dans le nouveau port de Brienne la vieille dans les années 1830.