Brienne-le-Château, chef lieu de canton dans l'Aube, hier et aujourd'hui et la région du briennois. Brienne-le-Château, main city of the region named le Briennois in the French departement "L'Aube" (10).
lundi 30 janvier 2012
Une expérience de communisme chrétien dans l'Aube
Vu dans la Revue du Christianisme social, numéro du 20 mars 1910, pages 13-14 une présentation de la colonie socialiste agricole de Saint-Usage près de Fontette dans l'Aube.
Libellés :
Liéfra,
Paul Passy,
Revue du Christianisme social,
Saint-Usage
vendredi 27 janvier 2012
mercredi 25 janvier 2012
Colonie agricole des frères Napias-Piquet
NAPIAS-PIQUET; - Lettre autographe signée adressée au très cher frère Gardèche, premier apôtre de la doctrine fusionienne. Saint-Just (Marne), le 28 octobre 1850.
, 1850
3 pp. in-4.
Propriétaire de l'ancien château du Maréchal Brune à Saint-Just, Claude-Dominique Napias-Piquet, né à Romilly en 1813établit en 1849 avec son frère Louis dit Minor, une colonie agricole et industrielle dont ils étaient les directeurs, en compagnie de Madaule et Guyard, tous deux fouriéristes. Elle comprenait 40 colons. Les manoeuvres d'un notaire aboutirent à l'expropriation et à la vente de la colonie vers la fin de 1850. Probablement déçu par l'échec de son association, Napias-Piquet se tournent vers les Fusioniens : « (...) J'ai comme vous fait la cruelle expérience des associations fondées sur des bases fausses. Je sais qu'elles ne peuvent réussir ni marcher longtemps à travers l'antagonisme des intérêts et que la communion spirituelle seule peut donner des résultats satisfaisants et durables. Nous vous offrons un hymne fusionien. Veuillez l'accepter si vous le croyez conforme à la doctrine ». Maitron II, p. 235
CD Napias-Piquet avait publié aux imprimeries de Lépine en 1849 "Transition pacifique et sûre vers un nouveau monde. Statuts Statuts d'une colonie agricole, industrielle et commerciale à fonder à Saint Just (Marne).
Membre de la Commune de Paris, il sera fusillé dans la rue en 1871. Décrié par les Versaillais, il sera touitefois présenté de façon plus modérée dans les "Episodes du Temps de la Commune de Paris 1871" publiés à Tours en 1872, par Alfred Mame et fils éditeur :
"Le citoyen Napias-Piquet, élève et ami de proudhon, ancien notaire appartenait à la classe des économistes utopistes. Il avait en médiocre estime les procédés des jeunes de la Commune et les délibérations de l'hôtel de ville, qu'il aurait voulu voir surtout dirigées sur les problèmes économiques. Le capital, la propriété, l'organisation du travail étaient ses dadas (sic)" (page 136).
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, 1850
3 pp. in-4.
Propriétaire de l'ancien château du Maréchal Brune à Saint-Just, Claude-Dominique Napias-Piquet, né à Romilly en 1813établit en 1849 avec son frère Louis dit Minor, une colonie agricole et industrielle dont ils étaient les directeurs, en compagnie de Madaule et Guyard, tous deux fouriéristes. Elle comprenait 40 colons. Les manoeuvres d'un notaire aboutirent à l'expropriation et à la vente de la colonie vers la fin de 1850. Probablement déçu par l'échec de son association, Napias-Piquet se tournent vers les Fusioniens : « (...) J'ai comme vous fait la cruelle expérience des associations fondées sur des bases fausses. Je sais qu'elles ne peuvent réussir ni marcher longtemps à travers l'antagonisme des intérêts et que la communion spirituelle seule peut donner des résultats satisfaisants et durables. Nous vous offrons un hymne fusionien. Veuillez l'accepter si vous le croyez conforme à la doctrine ». Maitron II, p. 235
CD Napias-Piquet avait publié aux imprimeries de Lépine en 1849 "Transition pacifique et sûre vers un nouveau monde. Statuts Statuts d'une colonie agricole, industrielle et commerciale à fonder à Saint Just (Marne).
Membre de la Commune de Paris, il sera fusillé dans la rue en 1871. Décrié par les Versaillais, il sera touitefois présenté de façon plus modérée dans les "Episodes du Temps de la Commune de Paris 1871" publiés à Tours en 1872, par Alfred Mame et fils éditeur :
"Le citoyen Napias-Piquet, élève et ami de proudhon, ancien notaire appartenait à la classe des économistes utopistes. Il avait en médiocre estime les procédés des jeunes de la Commune et les délibérations de l'hôtel de ville, qu'il aurait voulu voir surtout dirigées sur les problèmes économiques. Le capital, la propriété, l'organisation du travail étaient ses dadas (sic)" (page 136).
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lundi 23 janvier 2012
jeudi 19 janvier 2012
Paul Passy, fondateur de l'Espoir du Monde et de Liéfra
son père Frédéric Passy, Prix Nobel de la Paix 1901
Paul Edouard Passy 1859-1940, militant socialiste chrétien et phonéticien
Paul Edouard Passy
Libellés :
ferme Fays-Bas,
Frédéric Passy,
Liéfra,
Paul Passy,
Prix Nobel Paix 1901,
Saint-Usage
mercredi 18 janvier 2012
Saint-Usage, LIEFRA, colonie agricole socialiste
Société Liéfra
PRÉAMBULE
Les soussignés,
Convaincus que le régime de la propriété capitaliste, en favorisant la concurrence illimitée et en facilitant l'exploitation des faibles par les forts, tend à concentrer la richesse entre les mains d'un petit nombre en mettant les autres dans la misère, et à faire naître entre les hommes des sentiments d'animosité et de haine;
Convaincus que les chrétiens peuvent trouver dans les enseignements de l'Écriture et les directions du Saint-Esprit les principes d'un ordre social différent, fondé sur la justice et la fraternité;
Ont décidé de faire sur une petite échelle l'essai d'un tel ordre social, autant que le permet l'ambiance capitaliste; Et se sont, à cet effet, groupés en une société à laquelle ils donnent le nom de Société Liéfra (Liberté, Égalité, Fraternité).
Paul Passy, militant socialiste chrétien, fils du Prix Nobel de la Paix 1901, Frédéric Passy lança cette expérience en 1908 sur la commune de Saint-Usage.
Article de Wikipedia sur Paul Passy.
Présentation dans la revue du Christianisme Social du 20 novembre 1909
An English Paul Passy's biography
Libellés :
Fontette,
Liberté Egalité Fraternité,
LIEFRA,
Paul Passy,
Saint-Usage
lundi 16 janvier 2012
dimanche 1 janvier 2012
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