jeudi 31 décembre 2015

Concert de l'OJA à Radonvilliers le 30 décembre 2015







Salle des fêtes de Radonvilliers 
comble le mercredi 30 décembre pour assister au concert de l'Orchestre des jeunes de l'Aube, une cinquantaine d'instrumentistes
 dirigé par Gilles Millière.

Bonne année 2016 à toutes et tous !

lundi 28 décembre 2015

De la patinette à la kickbike autour du lac du Temple



Venu de Finlande, le Kickbiking se pratique au guidon d’une trottinette sportive.
Le Kickbike® (marque déposée) a été développé par Hannu Vierikko dans les années 90. Ce jeune étudiant en médecine, champion de course de luge-patinette, a mis au point la trottinette pour adulte la plus performante et rapide du monde. Grâce à sa roue avant de la dimension de celle d’un vélo, la trottinette est très stable et permet de se déplacer à une vitesse proche de celle d’un vélo classique.

vendredi 25 décembre 2015

samedi 19 décembre 2015

Travaux d'entretien : vanne de resttitution lac Amance




   Décembre 2015 canal de restitution du lac Amance Radonvilliers

lundi 2 novembre 2015

Brienne la vieille : vestiges industriels





Rive droite de l'Aube, restes de la turbine électrique.

dimanche 11 octobre 2015

Octobre, retour des grues et des "ornithophiles"



Des milliers de grues ont survolé les lacs de l'Aube aujourd'hui, certaines ont fait une halte sur les bords de la pointe de Charlieu sur le lac du Temple. 

    Avec les grues, de nombreux amis des oiseaux sont revenus pour profiter de ce beau spectacle.




vendredi 9 octobre 2015

mercredi 30 septembre 2015

Revue de presse : le Cercle d'eau - Lac du Temple

http://www.fontesdart.org/wp-content/uploads/2015/04/Les_121_sculptures_en_bronze_du_cercle_deau_pillees_et_saccagees.pdf


Les 121 sculptures en bronze du «cercle d’eau» pillées et saccagées


 



PUBLIÉ LE 24/11/2014 
sur le site www.fontesdart.org 

Par
Céline Tillier

Barrage-réservoir Aube - Lac Amance –
 Dans l’indifférence générale, la plus grande installation monumentale du monde en bronze est pillée, saccagée et laissée à l’abandon.

Sur les digues du barrage-réservoir qui borde le lac Amance, il fut un temps où les promeneurs pouvaient admirer la plus grande œuvre du monde en bronze. Un cercle d’eau et 121 sculptures scellées sur la roche.
C’était avant le scandale d’un pillage orchestré dans la plus parfaite indifférence.
L’histoire remonte à 1993, lorsque deux sculpteurs, Sylvia Lacaisse et Patrice Alexandre, lèvent le voile sur une réalisation magistrale, de près d’un million d’euros.
« La mémoire de l’eau présente sur le rivage est
représentée par les poissons monumentaux, la fontaine permet à l’eau de sortir de son lit et rencontrer la
main du visiteur pour replonger dans le canal de restitution en direction de la Seine ».
Des heures, des mois d’un travail acharné dont tout le monde s’accorde à saluer la beauté. Cinquante tonnes de bronze pour une réalisation hors du commun. Une œuvre d’art qui aurait pu, qui aurait dû être préservée
de la destruction organisée et parfois même commandée.
« Les maîtres d’ouvrage, en l’occurrence l’Institution interdépartementale des barrages de la Seine et la Ville de Paris, ne veulent plus entendre parler de l’œuvre. C’était pourtant à eux de sécuriser le site »,
fulmine Patrice Alexandre.
Morceaux par morceaux, le cercle d’eau disparaît. Les premiers poissons sont volés en 1997 et depuis, les modules faits de bronze deviennent la proie des pilleurs que personne n’interpelle jamais.
« Pour nous, c’est dramatique », lance Sylvia Lacaisse devant ce qui faisait hier sa fierté, « l’absence de réaction témoigne du
déni de l’artiste et de son travail».
Opération commandée
De plainte en plainte, les artistes découvrent le pire au gré de leur passage sur le site.
« L’institution a décidé de scier le garde-corps afin de retirer la rambarde sculptée en se moquant des droits moraux. »
Certains travaux que l’on dit de réfection sont réalisés à la hâte par lesreprésentants de l’institution interdépartementale. Qu’importe les risques.
« L’installation a été pensée avec une vitre en verre porteuse
rendant l’ensemble stable sans étais. Lorsqu’ils se rendent compte que la vitre est étoilée, ils utilisent une feuille de polycarbonate, ce qui a pour conséquence de rendre le garde-corps très instable. »
Loin de se rapprocher des auteurs, l’opération commandée de destruction de l’œuvre continue :
« On ajoute trois barres de soutien sans se soucier que cette modification porte atteinte au travail effectué ». Ivres de rage, les artistes ne baissent pas les bras.
« Nous étions prêts à faire des concessions pour que la pièce puisse
revivre, mais toujours, nous nous sommes confrontés à l’arrogance de ceux qui ne veulent rien entendre. »
Déterminés à porter haut la valeur de leur travail, Patrice Alexandre et Sylvia Lacaisse ne baisseront pas les bras. Malgré les années de procédure passées et celles à venir. « On ne lâchera pas. Comment peut on imaginer qu’un artiste lâche prise ? »
Contactés par nos soins, les représentants de l’Institution interdépartementale des barrages de la Seine n’ont pas souhaité réagir.


vendredi 11 septembre 2015

Les Templiers dans la forêt d'Orient - circuit historique pédestre

  Circuit historique dans la forêt du Temple.

Ouvert en 2015 à partir du livre de Valérie Alanièce et François Gilet, publié par le Parc naturel régional de la Forêt d'Orient.
Départ à partir du parking situé sur la route forestière du Temple
 ( à proximité de la Loge aux chèvres).

mardi 8 septembre 2015

Baies, nèfles, glands


 Soon, ready for medlar tart and pie. 


mercredi 2 septembre 2015

Paul Meunier, député radical 1871-1922


 Monument funéraire du député Paul Meunier
Saint Parres les Vaudes (Aube)
2 septembre 2015

Paul Meunier, né le 18 février 1871 à Saint Parres les Vaudes, mort le 17 mai 1922 à Paris après un non-lieu prononcé à la suite d'une incarcération arbitraire de 28 mois.
Député radical-socialiste de l'Aube de 1902 à 1919, conseiller général, maire de sa commune natale, il avait été arrêté et brutalisé le 14 novembre 1919 au cours de sa dernière campagne électorale à l'issue d'une cabale immonde menée par Léon Daudet et l'Action Française.
Campagne relayée dans l'Aube par les journaux d'extrême-droite "L'Avenir de l'Aube" et réactionnaire "La Tribune de l'Aube".
Que lui reprochaient ses adversaires ?
Avoir été pacifiste, avoir lutté contre la justice militaire et pour le droit des soldats blessés, avoir oeuvré contre les profiteurs de guerre.
Et aussi avoir défendu des militants syndicaux victimes de machinations patronales comme le délégué CGT du Havre Jules Durand, le "Dreyfus de la classe ouvrière"...

A l'initiative des Syndicats confédérés du Havre une souscription fut lancée dans le journal "Le Peuple" en avril 1923, reprise par le journal socialiste "L'Aube Nouvelle" pour élever un monument à la mémoire de Paul-Meunier.
Ce monument fut inauguré le10 juin 1923 devant 4000 personnes dans le cimetière de Saint Parres les Vaudes.
Au dessous de son portrait figure le texte suivant :

"Paul Meunier



né à Saint Parres les vaudes le 18 février 1871, mort à Paris le 17 mai 1922.


"Enfermé à la Santé le 5 novembre à la veille des Elections législatives de 1919 pour raison d'Etat.


Libéré après 2 ans et 4 mois de détention après un arrêt de non-lieu, mort des suites de cette détention.


Il dénonça inlassablement au Parlement, dans la Presse, dans les assemblées publiques la juridiction brutale et inhumaine des conseils de guerre.


Réformateur du Code, il défendit en toutes circonstances avec toute l'ardeur de sa foi les travailleurs victimes de l'injustice sociale.


Il fut le défenseur généreux et désintéressé des humbles, il encourut la haine des puissants."

Ce monument a été élevé par la reconnaissance publique.



Dedicated to the memory of Paul-Meunier this monument was unveiled on the 10th June 1923 in front of 4000 persons in the cemetery of his village Saint Parres les vaudes.